Le vent l'emportera

MON DEFI…MA VIE !

Ce poème que j’écris,
C’est l’aveu que j’ai compris,
Que rien n’est plus beau que la vie,
Et que rien ne vaut tant de soucis.

Rien, hormis, je vous le dis,
Ce qui me ronge, la maladie.
Contre elle tout n’est que sursis,
Alors respectez la vie !

Prenez soins de vos amis,
N’écoutez pas ce qu’on vous dit,
Ne faites pas cas de vous soucis,
Même celle dont je parle ici.

Pourtant je le fais maintenant,
J’en ai besoin tout simplement.
Je jure pourtant de me battre,
J’ai un démon à combattre !

Si toutefois elle est plus forte,
Et qu’un jour la mort m’emporte,
Je veux vous dire, mes amis,
Vous aurez fait sourire ma vie.

J’ai découvert un peu tard,
Que rien ne sert d’être geignard,
Vaut mieux être peinard,
Profiter de la douceur du soir.

Pardonnez si ce poème est triste,
C’est que je suis en bout de piste,
Mais je veux redécoller,
Pour vivre et mieux apprécier.

Les montagnes noires.

Contemplant ces montagnes noires,
Le poète a l’impression de s’y voir.
Ses illusions, ses souvenirs perdus,
Résonnent dans sa tête, il est foutu.

Personne ne la remplacera,
Sa princesse n’est plus là.
Il espère mais elle ne reviendra pas,
Son doux sourire, sa douce voix.

Dans un élan semblant ultime,
Il fait glisser cette plume,
Ressemblant dès lors à une enclume.
Plus jamais il ne sera intime.

Criant, pleurant, rien n’y fait.
Sa raison de vivre l’a quitté,
Ne lui reste que les larmes à verser,
Et ses désirs fragiles et imparfaits.

Le poète ne sait plus ou il est,
Ne sais même, plus qui il est.
Ombre de lui même, tourmenté,
Ne demandant qu’a la retrouver.

Mais hélas, il croit savoir,
Que désormais il est trop tard,
C’est donc par désespoir,
Qu’il rejoindra ces montagnes noires.

POEME INTIME

Aveuglé par ta lumière,
Inondé par ta beauté,
Je me perds dans tes bras,
Oubliant tous mes faux pas.

Envahi par ton parfum,
Enlacé par tes douces mains,
L’amour m’a envahi,
Mon cœur est étourdi.

Telle une fée mutine,
Tu sais te faire coquine,
J’aime sentir ton corps,
Et t’aimer jusqu’à l’aurore.

Nos corps vibrants à l’unisson,
Brûlants et ivres nous aimons,
L’amour qui nous transporte,
D’une jouissance, il s’en exhorte.

Enfin repus nos sens émus,
Retombent et refluent,
Qu’une mer intime nous invite,
Encore à plus d’amour sans abîme.

Alors seulement, enlacés,
Nous retrouverons Morphée,
De trop nous être aimés,
Béats mais surtout extasiés.

Toi m’a princesse en qui je crois,
Je te remercie d’être avec moi,
Et t’envoie par ce pli là,
Pleins de papillons rois.

Ta douceur me manque déjà,
Rempli d’effroi quand tu n’y est pas,
Je revis à chaque fois,
Que je chemine derrière tes pas,
Je t’en supplie emmène moi,
Vers un monde idéal et droit.

Je prend confiance dans tes bras,
Ma vie , mon âme tout ça pour toi.
La vie est une source d’émois,
La poésie une sérénade je crois,
Les amis nous épaulent parfois,
Mais toi tu es plus que ça.

Et pour montrer à ton endroit,
Que la tristesse ne fait pas tout de moi,
Des milliers de baisers je t’envoie,
Pour que plus jamais tu n’ai froid.

POUR VOUS MADAME

Serait-ce encore possible pour moi,
D’aimer tendrement ici bas ?
Depuis quelques jours je crois,
Mon cœur à nouveau bat.

Mais de mes blessures d’antan,
Je souffre encore maintenant.
Alors je vais simplement essayer,
D’allier douceur et liberté.

Si nos sentiments voulaient,
Un jour voir nos cœurs s’emmêler,
Je promets de ne jamais oublier,
La liberté de l’être aimé.

De ma précédente expérience,
Je veux dire qu’elle m’a donné la chance,
De comprendre toutes mes erreurs,
Pour cela, je ne lui en tiens pas rigueur.
Au contraire, je lui souhaite bonheur,
Ainsi que de retrouver la chaleur,
D’un doux et paisible foyer,
Et que reste notre amitié.

Pour la Dame qui occupe mes pensées,
J’espère qu’elle saura se trouver,
Dans ses quelques mots placés,
Car je n’ose vraiment la citer,
Tant amour et amitié,
Peuvent s’y retrouver mêlés.

Pourtant aujourd’hui j’ose croire,
Qu’une page est tournée,
Et que n’est pas illusoire,
De se savoir un peu aimé.

Alors laissons grandir cet amour,
Laissons lui tout son temps,
Partageons les moments présents,
Et ne regardons plus rien autour.

A vous, Madame, je dédicace,
Ces mots empreints d’audace,
Et vous clame bien volontiers,
Que j’aime à vous retrouver.

Reste près de moi…

J’ai froid quand je suis loin de toi,
J’ai peur quand tu t’éloigne de moi,
Je pense à toi, même quand tu n’est pas là,
Comment bien t’aimer, ne pas faire de faux pas.

Tes bras me rassurent quand tu m’étreins,
Près de toi, je me sens aimé et serein,
Avec toi je veux faire mon chemin,
Plus rien ne compte, sinon ta présence,
Je m’envole et espère ta confiance,
Mon aimée je te fais allégeance.

Je t’aime sans autre mot,
Je ne sais pas ce que je vaut,
Mais mon amour y prévaut,
Quand tu es là tout est si beau.

Serre moi fort, ma bien aimée,
Je veux sentir ton corps illuminé,
De ma tendresse de mes pensées,
De mes mains te caresser,
De mon âme toute dévouée,
De mon cœur t’aimer….

SI TU ME LE DEMANDAIS.

Je gravirais les plus hautes montagnes,
Construirais des châteaux en Espagne,
Et même faire un tour au bagne !

Si tu me le demandais.

J’irais cueillir les étoiles,
Soulèverais tous les voiles,
Eloignerais les scandales,

Si tu me le demandais.

J’irais me battre en enfer,
Déplacerais les mers,
Immobiliserais la Terre,

Si tu me le demandais.

J’irais ou personne ne va,
Pourfendrais tes tracas,
Te suivrais même là ou il ne faut pas,

Si tu me le demandais.

Je te construirais une maison sur la lune,
Irais vivre dans les dunes,
Ramasserais de la poussière de lune,

Si tu me le demandais.

Je te donnerais des rayons de Soleil,
Parsèmerais tes pas d’arc en ciel,
Ferais de ta vie du miel,

Si tu me le demandais

Et tout ça pourquoi ?
Tout simplement parce que je t’aime !

Un songe

Me reposant au pied d’un grand saule,
Vous savez celui du clair de lune,
Il m’est venu un chose drôle,
Me suis surpris à rêver de dunes.

Pourquoi donc ce songe étrange?
Tu était dans ce rêve mon ange,
Coiffée et parée comme une princesse,
M’attendais tu avec délicatesse ?

Je me voyais donc vêtu de noir,
Un sabre à ma ceinture encore sanglant,
Qu’avais je fait, pourquoi ce sang ?
Cela je l’appris un peu plus tard.

Toi, dans ton beau palais d’argent
Tu m’attendais anxieusement,
Une guerre s’est déclarée,
Nos intérêts, j’ai du préserver.

Puis dans ce beau palais,
Nos ennemis t’ont enlevés,
Et par un ami je l’ai appris.
Je luttais donc pour ta survie.

Ceux qui t’ont enlevé m’ont tout pris,
Il ne savaient pas comme je t’aimais,
Bien mal leur en a pris !
Même au bout du monde je te sauverais

Ces lâches je les ai étripé
J’ai laissé leur corps sous le soleil plombé,
Et finalement ma bien-aimée,
J’ai retrouvé le moyen de te ramener

Je crois que ce rêve voulait nous dire,
Que quelque soit nos tourments,
Quoi qu’il arrive, même le pire,
Je suis avec toi jusqu'à la fin des temps !

Tel un renard à l’affût,
Je me glisse dans la salle des défis.
Des mots je ne suis jamais repus,
Tant sont grandes mes envies.

Je suis un chevalier poétique,
Quelquefois un peu égocentrique,
Je grave avec mon sang,
Les larmes de mon présent.

Si aujourd’hui je suis en noir,
C’est que je cherche à écarter mes démons.
Mais ne croyez pas que c’est illusoire,
D’essayer de gravir ces donjons.

Un jour peut être je retournerais,
Vers vous autres Troubadours,
Juste pour prouver avec humilité,
Que je suis sûrement sot mais point sourd.

TOI MA COLOMBE

Comme un oiseau qui déploie ses ailes,
Je veux te dire combien tu es belle.
Comme un oiseau qui chante,
Je veux te dire combien tu me hantes.

Comme un oiseau qui s’envole,
Mon cœur près de toi s’immole.
Comme un oiseau qui part,
Je serais avec toi, tôt ou tard.

Comme un oiseau qui tourbillonne,
Ta voix me trouble, en moi résonne.
Comme un oiseau qui s’enfuit,
Par toi je suis toujours ébloui.

Car toi ma colombe, douce et tendre,
Je veux dire sans plus m’étendre,
Que tu es mon oiseau de Paradis,
Que tu es l’oiseau de ma Vie !

TU ES MA ROSE.

J’étais bien seul ce jour-ci,
Pleins de pensées, j’étais assailli.
Ma douce amie était donc partie,
Comme je l’aimais, je l’avais à l’esprit.

Je décidais d’abord en mon jardin,
D’aller cueillir une belle rose rouge satin.
Rouge comme l’amour, c’est certain,
Je la gardais dans ma main.

Ensuite, pour passer le temps,
En forêt, je marchais lentement.
J’y vis une poule naine se gloussant,
Et même un petit écureuil rigolant.

Je ne faisait pas cas pourtant,
De ces animaux ricanants.
Seul m’occupait en l’instant,
Le souvenir de mon amie m’aimant.

Tout à coup, je découvris,
Posé au sol, tel un tapis,
Un joli mouchoir brodé.
Qui donc pouvait l’avoir laissé tomber ?

Le ramassant, je découvris,
En ces broderies, celles d’une amie.
D’un coup mon cœur bondit !
Que lui était-il arrivé ici ?

Un peu inquiet, je l’admets,
D’un coup, de derrière un fourré,
J’ai vu, me surprenant, sauter
Celle qui occupait mes pensées.

Quelle joie alors de retrouver,
Celle pour qui ma vie est vouée !
Je lui offris un long baiser,
Et lui donnait la rose qui la symbolisait.

L’Ange déchu.

Un ange suivait la vie sur terre,
Là haut, il ne savait que faire.
Il rencontra une jeune femme,
Qui, croyait-il, perdait son âme.

Pour elle il descendit du Paradis,
Se transformant en doux ami.
Il se voulait son ange gardien,
Pour lui rendre âme et destin.

A force de côtoyer cette belle,
Il finit par être amoureux d’elle.
Il vécu donc d’heureux moments,
Avec cette femme en l’aimant.

Mais Dieu fort mécontent,
Le réprima très sévèrement.
Il lui dicta alors un choix vilain,
Rester Ange, ou simplement Humain.

L’ange aimait tant cette femme,
Que son choix fut vite fait.
Il décida donc sans dilemme,
De perdre ses ailes à tout jamais.

Humain il était apparut,
Mortel, il était devenu.
Mais cruel est le destin,
Qui sépare ces deux humains.

La belle se tua un beau matin,
Laissant cet ange déchu.
La ramener, il ne pouvait plus,
Son amour était éteint.

Il vécut longtemps sur terre,
Seul avec sa triste misère.
Ne pouvant jamais oublier,
Celle qu’il avait tant aimé.

Il s’éteignit sans larmes mais ému,
Sa belle vint alors l’accueillir,
Son amour pouvait refleurir,
Dans ce paradis qui n’est pas perdu.

A la femme de ma vie!

Je t’attendais depuis si longtemps,
J’avais hâte de t’embrasser longuement,
Ma tristesse au loin soudainement,
J’ai tout gâché en te demandant.

Je n’aurais pas du te le demander,
Ni même oser le susurrer.
Mais je crois que la nouvelle année,
Sera pareille, me laissant sur les pavés.

Je t’aime cela je ne peux le nier,
Sans toi mon cœur est prisonnier,
Ne pouvant laisser échapper,
Tout l’amour que je veux te donner.

Tu demandes à réfléchir,
Ce souhait, je te l’ai accordé,
Mais puis je au moins espérer,
Un jour pouvoir te conquérir.

Alors oui je te le redis,
Friandise veux tu m’épouser!
Sans toi je suis meurtri,
Sans toi je ne puis exister.

Le voudras-tu ?

Avant que mon regard ne se trouble,
Avant que l’aube ne disparaisse,
Laisse moi n’être que ton double,
Ou nous nous retrouverons dans l’allégresse.

Viens et rejoins moi simplement,
Viens et donne moi ce que je veux ,
Partageons nos humbles sentiments,
Sans plus te soucier, exauce mon vœu.

Xanax est un drôle de personnage,
Ces sentiments sont là, pour toi,
Il ne veut qu’être en ton sillage,
Et suivre lentement tous tes pas.

Mais il a aussi des fidèles amis,
Il leur a fait des promesses,
Qu’il ne peut jeter dans l’oubli,
Ce dilemme n’est que tristesse.

Alors dit lui, voudras-tu,
A nouveau de cette main tendue.
Soit certaine tu n’es pas oubliée,
Il te garde en ses pensées.

Son espoir c’est qu’un jour,
Tu lui donnes entièrement l’amour,
Car Xanax veux t’épouser,
Plus que ça il veux t’aimer.

Mais il comprend tes choix,
Ta vie s’est faite là bas,
Et peut être ne voudras tu pas,
Le rejoindre si loin de là.

Xanax veux croire que tu viendras,
Il est prêt à faire le premier pas.
Pour que ces cœurs puissent se joindre,
Pour s’aimer sans ne plus rien craindre.

PERDU

Perdu ma volonté d’écrire ces mots,
Je n’ai plus la force qu’il faut.
Perdu le goût d’étaler ma plume,
Mes vers ne sont plus qu’enclume.
Perdu ma petite inspiration,
Je la tourne aujourd’hui en dérision.

Comment penser que je puisse écrire,
Alors que je doute de mes mots.
Ma plume est celle d’un pauvre sot,
Qui a cru qu’il pouvait ouvrir,
Juste l’espace d’un instant,
Vos cœurs et vos sentiments.

Ecrire, ce mot me fait sourire,
Même s’il m’a semblé me guérir,
Un temps de ma tristesse, mon abandon,
Je ne suis rien de toute façon.
J’aime pourtant la belle poésie,
Celle que j’ai cherchée en amie.

Vient donc le temps de l’évidence,
Pour vous, je tire ma révérence,
Ecrivez, vous le faites beaucoup mieux,
Que mes mots non mélodieux.
Un jour j’oserai certainement,
Lorsque j’aurai retrouvé mon discernement


Désolé pour hier, je n'étais pas si en forme que ça. Je reviendrai mais j'ai besoin de réfléchir.
Merci mon amie de m'avoir donné la parole un temps...