Telle une plume au vent
Tournoyant tout simplement
Je me mets à penser
A cette grande et belle liberté
Que vous avez
Je me laisse bercer, je m’envole sans alcool, tel un tendre baiser
Qui jamais dévoiler, car depuis le sol, vous ne pouvez discerner
Cette proie qui vous attire, qui vous appelle, qui vous fait rire
Etes-vous martyrs, quand nous les hommes, on vous attire
Ligne pure de vos ailes
Quand dans le ciel
Vous nous laissez imaginer
Que de votre beauté
On ne peut que rêver
Quand vous nous déployez, votre majestueuse beauté,
Nos cœurs, nos âmes, en toutes libertés
Se dirigent à toutes heures, vers de nouvelles contrées
Que vous ne pouvez nous conter, quand vous partez migrer
Alors de mon envol, tout contre vous, comme une lettre que l’on colle
J’entoure mes bras autour de votre cou, j’aimerais être vous
Bel oiseau, mon ami, vous me semblez si beau, je vous envie
Je vous le dis de nos assaut vous êtes
Ewaele